Deux tiers (67%) des femmes atteintes d'un cancer du sein, qui ont reçu des indemnités d'incapacité de la Mutualité chrétienne (MC), ont repris totalement ou partiellement le travail dans les deux ans qui ont suivi le diagnostic de cancer, ressort-il mardi d'une étude menée par la MC auprès de 7.600 femmes âgées de 20 à 64 ans.
2 euros par jour par patient, tel est le montant octroyé par l'INAMI au psychiatre qui travaille en MSP (Maison de Soins Psychiatriques). Mais pour les mutuelles, c'est encore trop...
La N-VA propose de sanctionner davantage les mutualités qui gaspillent de l'argent des contribuables en ne réclamant pas les allocations indûment versées, rapporte L'Echo mardi.
Dans une Tribune Libre d'abord publiée dans Le Soir , Caroline Depuydt, psychiatre au centre Epsylon, répond à Jean Hermesse . Le patron des Mutualités Chrétiennes avait en effet dans ce même journal réclamé l'ouverture d'un débat sur le salaire de certains médecins.
Budget des soins de santé, numerus clausus, lutte contre le cancer… , Maggie De Block reste Maggie De Block... , directe: «Les libéraux sont toujours indépendants. Toutes mes décisions se font dans l’intérêt du patient.» Interview-bilan des dossiers chauds de l’été et de la rentrée.
Le premier baromètre de la santé des enfants, publié par les Mutualités Libres, révèle une prescription élevée d’antibiotiques chez les enfants de 0 à 2 ans.
Maggie De Block, l’Inami et les mutuelles cherchent des solutions pour lutter contre la fraude dans les soins de santé. Une des pistes explorées est de créer un point de contact auquel auraient accès les patients et les médecins. L’objectif est de traquer les actes prescrits et facturés qui ne seraient pas exécutés. L’Absym craint qu’un tel système détériore la relation patient-médecin et regrette l’attitude antimédical de certains médias et «partenaires du système».
Pour les écologistes, la nouvelle réforme proposée par Maggie De Block à l’Inami pour harmoniser et simplifier les indemnités de maladie détricote encore davantage les filets de la sécurité sociale.
Luc Van Gorp, le big boss des MC, estime que la différence de revenus entre les médecins hospitaliers et les infirmiers est trop importante… et que les spécialistes qui gagnent beaucoup devraient donc se serrer la ceinture pour réduire ce fossé excessif. Marc Moens (ABSyM) y voit une déclaration de guerre, Maggie De Block s’efforce de nuancer.
Les parturientes se verraient prescrire un nombre trop élevé d’examens (échographies, tests de biologie clinique). «Il faut démédicaliser la grossesse», recommandent les Mutualités libres en se basant sur une étude réalisée auprès de 19.500 femmes. Qu’en pensent les gynécologues? Réaction de Michel Masson (Absym, GGOLFB).
La publication de l’accord national médico-mutualiste 2015 au Moniteur belge, ce 27 janvier, ouvre la période durant laquelle vous avez la possibilité de refuser partiellement ou totalement l’accord signé fin de l’année passée entre les syndicats médicaux (Absym, AADM et Cartel) et les mutuelles.
Le site internet de l’Inami a toujours comporté une foule d’informations utiles, mais y accéder n’était jusqu’ici pas nécessairement une mince affaire. Pour parer à cette critique récurrente, l’Institut a lancé début décembre un site remis à neuf.
La Mutualité chrétienne a sondé 52.000 de ses membres pour leur demander de se prononcer sur une série de sujets liés à l’accessibilité aux soins. Les résultats de ce sondage renforcent la ligne politique de l’organisme assureur. Cela tombe bien.
Maggie De Block annonce que le conseil des ministres a, sous son impulsion, adopté le 27 mars un train de mesures ayant pour dénominateur commun d’injecter «plus de transparence dans les soins et plus de droits pour les patients en difficulté». Inscrites dans une loi encore à voter, ces mesures incluent, e.a., la suppression de suppléments en hôpital de jour sauf chambre particulière et de la transparence tant dans le chef des médecins que des OA.
Les mutualités libres (MLOZ) confirment, via leurs chiffres, des tendances du dernier Eurobaromètre, indiquant que 22% des Belges sont disposés à gagner l'étranger pour des soins médicaux. D’après les MLOZ, nos concitoyens sont, depuis 2011, 20% plus nombreux à s'être rendus dans un Etat membre européen à cette fin. Avec quelques mauvaises surprises à la clef, puisque ces patients-voyageurs ne sont pas toujours conscients de ce qui les attend au niveau remboursement.
Le Spécialiste 233
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