Des sous-groupes spécifiques de la population – notamment les personnes âgées et celles qui présentent des comorbidités sous-jacentes – continuent de courir un risque accru de Covid-19 sévère, représentant la majorité de la charge en termes de morbidité et de mortalité qui sont associées à cette infection. Différents organismes comme l’OMS, les CDC et l’Agence européenne des médicaments recommandent donc que ces personnes reçoivent une première dose de rappel, voire d’une deuxième, 12 mois après la vaccination précédente.
Une étude publiée dans le JAMA (Journal of American Medical Association) confirme que la réduction de sel alimentaire chez l’adulte d’âge moyen à âgé, réduirait la pression sanguine de manière significative, quelle que soit la situation, hypertension ou pas, traitement ou pas.
On sait qu’un LDL-C plus faible et qu’une une tension artérielle systolique (TAS) plus basse sont associés à un moindre risque cardiovasculaire.
Un régime riche en noix est associé à une réduction de la pression artérielle systolique (PAS) chez les personnes âgées, en particulier celles présentant une hypertension légère, selon une étude publiée dans Hypertension.
L’hypertension artérielle est un tueur silencieux. L’absence de compliance des patients au traitement constitue un frein à la réussite de la prise en charge. Des chercheurs ont utilisé 3 moteurs pour tenter de l’améliorer: le médecin, le pharmacien et le télémonitoring.
Des chercheurs ont mis au point une application mobile sur smartphone pour suivre et aider des personnes souffrant d’hypertension. Ils ont ensuite mesuré l’impact de celle-ci sur l’adhérence au traitements de ces patients.
L’athérosclérose est généralement décrite comme une maladie des sociétés d’abondance, liée à de mauvaises habitudes de vie. Pourtant, sa prévalence ne peut être attribuée qu’à 70% aux facteurs de risque classiques, comme l’hypertension, les troubles lipidiques, le tabagisme et la sédentarité. Des chercheurs ont fouillé le passé pour tenter de mieux comprendre ses conditions favorisantes.
10% des femmes enceintes ont une hypertension artérielle marquée par une pression >140/90mmHg, tandis qu’une pré-éclampsie est présente dans 3 à 5% des cas. Pathologie endothéliale maternelle survenant après la 20e semaine de grossesse, la pré-éclampsie a pour origine des anomalies placentaires. Son taux de morbidité et de mortalité fœtale et maternelle élevé en fait une affection capitale à déceler. Ce que permettent certaines analyses de laboratoire avant que la maladie ne se déclenche, affirme Flavie Derlet (Arlon) dans le cadre de la 17e Journée des Laboratoires Cliniques de l’UCL. Published ahead of print.
Le Spécialiste 233
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