Dans la radiothérapie du cancer de la prostate (CP), il convient notamment de limiter autant que possible la dose délivrée aux organes à risque (OAR), comme le rectum, la vessie, l'urètre et les têtes fémorales. A ce titre, la protonthérapie (PT) permet de délivrer des doses...
Vous souhaitez continuer à lire cet article ?
L'accès à la totalité de l'article est réservé aux professionnels de la santé.
Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.