Le Fame (Festival where arts meet empowerment), rendez-vous d'arts pluridisciplinaires, entamera sa première édition du 19 au 24 septembre avec pour vocation d'ouvrir à de nouveaux imaginaires. L'inclusivité et la justice entre les genres seront au centre des réflexions qui émergeront autour du travail artistique présent sur place, annoncent les organisateurs sur le site internet de l'événement.
La thématique de cette édition sera "Ouvertures" afin de représenter les différentes ouvertures qu'il est possible d'avoir sur le monde à travers le temps et l'espace ainsi que face à la pluralité corporelle et artistique. Bien que le festival se considère "en dialogue avec les féminismes", il ne s'agit pas d'un festival féministe, il ne se substitue pas aux luttes sociales et politiques, explique l'équipe derrière le projet.
Durant six jours, les participants pourront découvrir des activités artistiques (concerts, théâtre, danse, expositions, ateliers) mais aussi prendre part à des moments de discussions axés sur les questions de genre (conférences, film, carte blanche, marionnettes et débats). Talents émergents et confirmés, artistes belges et internationaux, compagnies francophones et néerlandophones figureront notamment au programme du Fame.
L'espace "where", projet de médiation qui donne la parole au public du Fame, s'installera sur la plaine du Quai à la Houille à Bruxelles. Ce site central du festival se trouvera à moins de 10 minutes à pied des différents endroits de représentations artistiques répartis à travers la capitale.
Le Fame se veut accessible et inclusif. Le festival utilise une grille de prix échelonnés de 5 à 15 euros pour ses spectacles. Les ateliers, tables rondes et conférences seront quant à eux gratuits. Un système de garderie sera également possible pour les parents.