Depuis 2016 l’INAMI paye chaque année aux médecins généralistes un montant forfaitaire qui a pour but de soutenir le fonctionnement de leur pratique et l'utilisation de e-services. La prime varie de 800 à 5.050 euros en fonction de la situation du MG et de l'utilisation des outils numériques de la plateforme e-health.
"L'ABSyM réclame également la création d'une prime télématique pour les nombreux spécialistes qui exercent en pratique privée. Il existe des incitants pour les autres prestataires extrahospitaliers. Il y a par exemple une prime pour les infirmiers depuis un mois. les spécialistes sont les seuls à ne rien toucher", indique Philippe Devos, le président de l'ABSyM. Des spécialistes hospitaliers qui, en janvier, seront soumis eux aussi à l'obligation d'e-prescription.
Derniers commentaires
André DE NAYER
21 avril 2020Arrêtons toutes ces demandes de subsides à l'état qui nous rendent in fine dépendant de lui tandis que nous perdons toute autonomie pourtant revendiquée dès l'origine du syndicat lors de la première grève syndicale et à la base de cell-ci.s
plus nous "recevrons plus nous devrons rendre des comptes "
Et pour finir nos frais sont fiscalement déductibles .... Cessons de pleurnicher auprès de maman Etat .
Anne-Frédérique HUBERT
30 septembre 2019Pareil
Les spécialistes ne peuvent bénéficier d aucun soutien dans l engagement de secrétaire ni dans l informatisation avec tous les dépannages informatiques que cela’ comporte
Nos honoraires de pédiatre ne sont pas mirobolants
Amaury BREVER
29 septembre 2019@Eric Meirlaen : Sérieusement ? Commentaire complètement dédaigneux... Manque de connaissance des différentes spécialités et de la nomenclature, je suppose...
Que le montant de la prime soit adapté à l'activité/les revenus ? Sûrement ! Mais pas deux poids deux mesures...
Eric Meirlaen
27 septembre 2019Un spécialiste en cabinet privé ne gagne-t-il pas déjà assez que pour pouvoir s'équiper en informatique?
Est-ce la manière la plus judicieuse de dépenser les maigres ressources résiduelles de la sécurité sociale ?
Cécile COURTIN
27 septembre 2019Je suis spécialiste et ne comprends pas qu on ne puisse pas bénéficier d un soutien financier alors que nous sommes obligés de nous informatiser (avec les coûts et la perte de temps et d énergie que cette informatisation forcée implique) c courtin
Jean-Marc DESMET
27 septembre 2019Effectivement c'est bien vrai, je souhaite développer cela et je suis limité par les frais énormes par rapport à ce que cela me rapporte