3008 étudiants ont passé l’examen d’entrée pour les études de médecine le 10 juillet dernier. 508 d’entre eux ont réussi. Et vous auriez-vous réussi ? Testez vos connaissances !
L’examen d’entrée se présente comme un questionnaire à choix multiples et se base sur une évaluation sur deux catégories : la « connaissance et compréhension des matières scientifiques » (comprenant biologie, physique, mathématiques et chimie), et la « communication et analyse critique de l’information » (comprenant communication, empathie, éthique et raisonnement).
Afin de réussir l’épreuve, le candidat doit obtenir une moyenne d’au moins 10/20 pour chaque partie et un minimum de 8/20 dans chaque matière.
Et vous, auriez-vous réussi l’examen d’entrée en médecine ? Voici les liens fournis par l’ARES (Académie de Recherche et d’Enseignement Supérieur) pour accéder aux questions de l’examen d’entrée en médecine de l’année passée, comme si vous étiez.
> Biologie
> Chimie
> Physique
> Empathie
> Éthique
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Le débat se poursuit sur @MediSphereHebdo et @LeSpecialiste
La réponse est non je venais de math 4-sciences 2 et je voulais faire la psychiatrie depuis le début ... la médecine n’était pour moi qu’un moyen d’y arriver par lequel je devais passer : j’aurais dû passer le concours, j’aurais été dans la M...
— depuydt caroline (@DepuydtCaroline) 31 août 2019
J'ai bien rigolé. Mais je n'atteins pas la moyenne en bio chimie physique et même math... Tellement loin et si insignifiant avec la pratique médicale.
— Alban (@Doc_alban) 30 août 2019
Tant d’efforts et de connaissances pour suivre des protocoles, perdre la liberté thérapeutique, et à terme devenir des techniciens de l’IA... voire disparaître !
— Gérard WILLEME (@docgewil) 30 août 2019
La vaste blague
— Sam Ward (@dr_wardsam) 30 août 2019
Si mes souvenirs sont bons, c'est en gros le programme de sciences de ma dernière année en secondaire et de ma 1e année en médecine... Si tu as un bon niveau à la sortie de l'école, l'examen est effectivement une bonne blague
— Nathalie Schirvel (@NatSchirvel) 31 août 2019
Non, définitivement, je ne serais pas admise... Avoir des connaissances de base est important, mais ces connaissances sont tellement loin de la pratique clinique quotidienne... https://t.co/Rb45k73zJA
— AFrançoise Spinoit (@AFSpinoit) 31 août 2019
Pourquoi le défendre alors qu’il existe d’autres systèmes de sélection plus evidence-based laissant sa chance à tous ? Même si on sait tous qu’en fait, il faudrait faire sauter la sélection vu les pénuries... mais bon, comme les flamands sont à la manœuvre, on oublie ça.
— Jerome R. Lechien, MD, PhD, MS (@JeromeLechien) 31 août 2019
Perso je défends l’idée d’un système de sélection (même si on n’est ps d’accord la dessus ) par contre, sans être pro ds le domaine, je souhaiterais que cette sélection soit la plus fiable possible tt en englobant la question d’humanité mieux qu’un qcm sur l’empathie
— depuydt caroline (@DepuydtCaroline) 31 août 2019
Ce qu’on cherche c’est de sélectionner les futurs bons médecins. Les facteurs les + prédictifs de la réussite étant les aptitudes non cognitives et absolument pas les connaissances en sciences. Donc adopter un système qui écarte les futurs bons médecins est donc stupide.
— Jerome R. Lechien, MD, PhD, MS (@JeromeLechien) 31 août 2019
Jérôme, sélectionner les futurs bons médecins n’a jamais fait partie de l’agenda politique du gouvernement MR/NVA. Le but était (et reste toujours) celui de limiter le nombre d’étudiants accédant aux études. Tu le sais mieux que moi!
— Giovanni Briganti, M.D. (@giovbriganti) 31 août 2019
Voilà.
— Nathalie Schirvel (@NatSchirvel) 31 août 2019
Et ce qui détermine la réussite ce ne sont pas les aptitudes empathiques, sociales ou de communication mais la motivation, les ressources financières et le travail.
Faut arrêter de tout mélanger.
Et un bon médecin est un médecin qui possède ET des hard ET des soft skills
