L’immunothérapie pourrait modifier la biologie tumorale au point de prolonger le bénéfice en survie au-delà de la progression radiologique, ce qui pourrait expliquer une discordance entre la survie globale et le taux de réponse ou la PFS, comme cela a été observé dans l’étude OAK...
Vous souhaitez continuer à lire cet article ?
L'accès à la totalité de l'article est réservé aux professionnels de la santé.
Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.