Le congrès bisannuel de Glasgow consacré aux traitements contre le VIH a tenu ses promesses en termes de rassemblement, mais aussi en termes de résultats. De nouvelles guidelines EACS ont également été révélées durant ce congrès.
Les trithérapies antirétrovirales (3DR) ont longtemps constitué le pilier du traitement du VIH. Toutefois, l’arrivée de nouveaux antiviraux puissants et bien tolérés a permis d’introduire les bithérapies (2DR) comme une alternative crédible. La question s’est posée quant à l’impact métabolique de ces traitements.
Les données proviennent du CHU de Liège sous forme d’un poster présenté à Glasgow et montrent l’importance croissante à accorder aux interactions médicamenteuses.
À côté des essais cliniques bien menés, l’expérience du terrain est essentielle pour le clinicien. Une étude menée avec CAB+RPV LA vient entériner les résultats déjà obtenus.
La prise en charge des personnes vivant avec le VIH a connu une réelle révolution depuis quelques années, mais, pour José Arribas (Madrid, Espagne)*, la source de changement est loin de se tarir…
L’étude DOLCE revêt toute son importance, puisqu’elle confirme les résultats de non-infériorité obtenus dans les études précédentes chez des patients qui présentent une charge virale très élevée.
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