Le congrès s'est déroulé du 22 au 26 juillet.
Les préoccupations de sécurité limitent souvent l’accès des femmes enceintes aux essais cliniques, ce qui affecte la généralisation et l'application des résultats. C’est aussi le cas pour la PrEP, ce qui expose les femmes enceintes à un risque accru de contracter le virus.
Les bénéfices de la prise en charge par traitement à action prolongée vont bien au-delà du seul contrôle de l’infection par le VIH. Une analyse des données issues de l’étude OPERA le démontre clairement pour les infections sexuellement transmises.
Les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) souffrent toujours d’une stigmatisation et d’une anxiété liée à leur statut. Les traitements à longue durée d’action permettent de diminuer ces craintes comme le montre BEYOND, une étude américaine.
COMBINE-2 C2C est une étude aux dimensions européennes en situation réelle concernant l’efficacité et la sécurité d’emploi de la combinaison cabotegravir+rilpivirine à longue durée d’action (CAB+RPV LA).
Les études en situation réelle permettent d’évaluer l’intérêt du traitement par le cabotegravir et la rilpivirine à action prolongée (CAB+RPV LA) chez des patients non sélectionnés. C’est ce qu’ont réalisé ces chercheurs espagnols.
L’étude italienne SCohoLART a permis d’évaluer la probabilité cumulative d’interruption du traitement sur une période de 12 mois chez les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) traitées par le cabotegravir et la rilpivirine à action prolongée (CAB+RPV LA).
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