La question posée par une équipe menée par D. Little de l’université McMaster à Hamilton ne manque pas de pertinence car les études de population ont montré que l’arrêt est définitif dans près de 50% des cas, alors qu’une méta-analyse récente a montré que la reprise du traitement...
Vous souhaitez continuer à lire cet article ?
L'accès à la totalité de l'article est réservé aux professionnels de la santé.
Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.